Bonsoir Philippe, encore une fois de magnifiques photos. Plutôt qu’à Paris, on peut se croire dans une ville japonaise ou bien dans une autre époque. J’espère que vous allez bien. À très bientôt. Franck
magnifique comment la lumière se diffuse dans l'image par petites touches dans le chaos des mouvements... le plafonnier est comme l'étoile de ce microscome...
et on te cherche, toi, dans les reflets mouvants...
"Le photographe n'est qu'un témoin attentif du hasard organisé." MAIS son véritable travail commence peut-être là où celui du témoin s'arrête ? Car si le hasard propose, c'est bien l'auteur qui dispose, non ? La sélection est le maître mot ici.
Il choisit le coin de rue où attendre, l'objectif qui mentira le mieux, le millième de seconde où le chaos devient une géométrie. Il choisit, parmi cent images possibles, la seule qui mérite de survivre. Et il choisit, dans le silence de sa chambre noire numérique, le contraste qui transformera une simple scène en une déclaration.
Ce qui me frappe dans cette série : ce plafonnier qui revient comme une étoile-auréole, un astre fixe autour duquel gravitent les reflets. Et cette profusion de couleurs électriques - ces orangés saturés contre les bleus glacés de la nuit. Le hasard n'a pas de mémoire, pas d'intention, pas de blessure. L'œil du photographe, si. Il ne capture pas le monde ; il se capture lui-même à travers un fragment du monde.
C'est aussi, au fond, une question de sélection, de photographie. Avez-vous vu cette auréole ? De manière consciente ?
Oui, je l’avais vu, c’est ce qui m’a immédiatement émerveillé et que j’ai tenté de capter le moins mal possible avec mon appareil photo. Merci pour votre commentaire.
Bonsoir Philippe, encore une fois de magnifiques photos. Plutôt qu’à Paris, on peut se croire dans une ville japonaise ou bien dans une autre époque. J’espère que vous allez bien. À très bientôt. Franck
Merci Franck. À très bientôt, j’espère.
Magique !
magnifique comment la lumière se diffuse dans l'image par petites touches dans le chaos des mouvements... le plafonnier est comme l'étoile de ce microscome...
et on te cherche, toi, dans les reflets mouvants...
"Le photographe n'est qu'un témoin attentif du hasard organisé." MAIS son véritable travail commence peut-être là où celui du témoin s'arrête ? Car si le hasard propose, c'est bien l'auteur qui dispose, non ? La sélection est le maître mot ici.
Il choisit le coin de rue où attendre, l'objectif qui mentira le mieux, le millième de seconde où le chaos devient une géométrie. Il choisit, parmi cent images possibles, la seule qui mérite de survivre. Et il choisit, dans le silence de sa chambre noire numérique, le contraste qui transformera une simple scène en une déclaration.
Ce qui me frappe dans cette série : ce plafonnier qui revient comme une étoile-auréole, un astre fixe autour duquel gravitent les reflets. Et cette profusion de couleurs électriques - ces orangés saturés contre les bleus glacés de la nuit. Le hasard n'a pas de mémoire, pas d'intention, pas de blessure. L'œil du photographe, si. Il ne capture pas le monde ; il se capture lui-même à travers un fragment du monde.
C'est aussi, au fond, une question de sélection, de photographie. Avez-vous vu cette auréole ? De manière consciente ?
Bien à vous.
Oui, je l’avais vu, c’est ce qui m’a immédiatement émerveillé et que j’ai tenté de capter le moins mal possible avec mon appareil photo. Merci pour votre commentaire.
Merci pour votre réponse.
Huit images sur dix avec cette auréole : ce n'est plus du hasard, c'est une signature.
J'ai vraiment aimé.
Bien à vous.
Ou une idée fixe 😏. Merci encore.